Transformers: The Last Knight, sorti au cinéma le 28 juin, est le cinquième film de la franchise. Un bon gros film avec de l’action partout, tout le temps et des dinobots trop choupinous !

Bam ! Crash ! Vroum !

Humains et Transformers sont globalement en guerre et une entité de l’armée américaine, la TRF, se charge de traquer et d’éliminer tous les Transformers qui refont surface quels qu’ils soient. Car voilà, pour des raisons inconnues, les Transformers arrivent par vague sur Terre.

Pendant ce temps, Optimus Prime, le leader des Autobots, dérive dans l’espace à la recherche de ses créateurs dans le but de mettre un terme à la situation actuelle. Un lord anglais décide qu’il est temps de réunir une équipe hétéroclite pour sauver le monde. Une petite fille pense qu’elle doit sauver les autobots en s’installant dans une décharge de voitures avec un inconnu recherché par tout le monde : le célèbre Cade Yeager. Une entité extraterrestre veut détruire la Terre. Un bébé dinobot trop mignon met le feu à des rideaux.

De l’action !!!

Alors oui clairement, ce film ne restera pas dans les annales grâce à son scénario élaboré, son suspense insoutenable ou ses rebondissements inattendus. Non. Comme dans tous les films Transformers, le scénario est plutôt simple, la trame de l’histoire est ultra prévisible et… spoiler… les héros gagnent à la fin !

Alors pourquoi aller voir ce film ? Moi, j’ai adoré l’action incessante. Je trouve ça reposant ! Je trouve que c’est un film parfait à voir en semaine après une grosse journée de travail. Un film coloré, qui ne demande pas (trop) de réflexion, qui berce, on se laisse porter par les scènes d’action, entrecoupées de scènes un peu drôles et mignonnes notamment avec les bébés dinobots, ça fini bien et y’a un dragon ; et les dragons c’est cool !