Le tout dernier album de Reporters Sans Frontières met les photos du National Geographic à l’honneur avec 100 magnifiques et surprenantes photos d’animaux du monde entier.

La National Geographic Society

Fondée en 1888 (oui ça ne date pas d’hier) par des savants et des explorateurs, l’organisation était à l’origine un club réservé à l’élite et aux académiciens.

Le premier magazine était un recueil de mémoires, d’essais, de notes, de correspondances et de comptes-rendus en lien avec la géographie. Mais ce n’est qu’à partir de 1896 que les photographies font leur apparition dans le magazine devenu un mensuel illustré.

Au fil des numéros, les équipes de rédacteurs, de photographes, de scientifiques et d’explorateurs ont révolutionnés l’art de la photographie animalière, battus des records, faits de très nombreuses découvertes fondamentales et même localisés des épaves comme celle du Titanic (rien que ça !).

Oui le travail du National Geographic n’est plus à prouver et tout le monde s’accorde à dire qu’ils publient des photos absolument magnifiques dans de très complets reportages.

Et là rien que pour nos yeux, RSF rassemble 100 des plus belles photos animalières dans cet album ponctué en plus d’anecdotes racontées par les photographes.

P22 se promenant dans Griffith Park, où se trouve le célèbre panneau Hollywood. Ce puma est étudié et suivi par des biologistes du National Park Service dans la région de Los Angeles. Sa capacité à se rendre invisible dans une zone à très forte densité de population témoigne des qualités de furtivité de l’espèce. © Steve Winter

Toutes les photos présentent dans cet album, oui toutes sans exception, sont magnifiques. J’ai été totalement subjuguée par la beauté des animaux et également par leurs comportements parfois très étonnants ! C’est sans nul doute un très beau recueil !

Une bonne cause

Rappelons encore une fois que les fonds récoltés par Reporters sans Frontières par la vente de ces albums à 9,90€ servent une bonne cause.

L’argent est utilisé afin « d’aider les journalistes en danger, de soutenir les médias en difficulté ou encore de fournir des casques ou des gilets pare-balles aux reporters travaillant en zones de guerre où informer peut coûter la vie ».